Initialement prévu pour être envoyé derrière le texte d'Alack et burak, il est devenu anachronique. Du coup j'le range ici.
La mâchoire serrée, mettant face à face les dents encore présentes avec les cavités béantes des manquantes, le Serrurier regarde Þura s'en aller. Il a assisté à la scène, mais n'a rien dit, rien fait. Dans son poing serré, son archaïque pot d'échappement clouté, déjà instrument de mort.
"Sale pute .."
Un regard à son mentor, Supreme Allah, violemment sorti de sa transe. Un coup d'oeil à "Whity", le vieillard perché à coup de champignons, malmené par l'islandaise. Une dérobade, enfin, à Amya, la négresse jaune, coupable sinon complice de l'agression Blanche.
"OUAIS. T'ENTENDS?! Toi, pute blonde de ma pine en shlass. J'te parle, connasse. R'tourne wat ou j'fais l'voyage aller jusqu'à ta ptite gueule de merde!"
Et le Noir à la ganache en vrac de pointer Þura du bout de sa tubulure en ferraille rouillée, accusateur. Son menton tremble de rage, ses phalanges de blanchissent sous l'effort. La colère s'imprime comme un décalcomanie fantaisie sur son corps hideux, en couleur.
"Ecoute .. Ecoute, j'te jure sale pute. Wesh, écoute moi bien. Si JAMAIS, t'entends enculée d'tes morts? Si JAMAIS tu r'touches le vieux, ou n'importe quel reuf, j'te transforme ta tronche de poufiasse en bouillie pour clébard façon broyée-hallal.
Tellement j't'enfoncerai ma lourde dans la tronche, dans ton bide, qu'tu vomiras tes putains d'boyaux par les narines avant d'chier ton cerveau gorgé à la jute de pine wesh. Abdullah si j'mens. Sur l'Coran que j'en finirai avec wat une fois pour toute. ET J'ESPERE QU'C'EST CLAIR SALE FILLE DE PUTE!! Hagounass de tes morts..."
Puis, rabaissant sa menace physique, il murmure à l'intention d'Hakim X:
"Ce qui est dit est dit, t'as vu."